Benjamin Grosser crée des expériences interactives, des machines et des systèmes qui explorent les implications culturelles, sociales et politiques du logiciel. Son travail a été exposé au : Eyebeam, NY; The White Building, Londres; the Media Art Biennale, Wroclaw; The Digital Arts Festival, Athènes, ILE, São Paulo; Telecom Italia Future Center, Venise et Museum Ludwig, Cologne. Ont parlé des oeuvres de Bejamin Grosser: Wired, The Guardian, the Los Angeles Times, Creative Applications Network, Neural, Rhizome, Hyperallergic, astCoDesign, Gizmodo, Engadget, Al Jazeera, Corriere della Sera, El País, Der Spiegel, et The New Aesthetic. A propos de «Interactive Robotic Painting Machine», le Huffington Post a déclaré: “Grosser a peut être inconsciemment donné naissance à l’apocalypse”. Le Chicago Tribune lui a donné le titre de “roi incontesté d‘inquiétants charabias”. Slate a défini son travail “désobéissance civile créative de l’ère digitale”. Benjamin Grosser a récemment reçu le Premier Prix de VIDA 2016, un Prix international décerné à des travaux qui interrogent la relation entre art et vie artificielle, une Bourse et une Commission Net Art par Rhizome, et le Expanded Media Award for Network Culture de la Stuttgarter Filmwinter. Benjamin Grosser est Professeur adjoint de Nouveaux Média à la School of Art + Design ainsi que membre affilié en Etudes critiques en Technologie au National Center for Supercomputing Applications, à l’Université de l’Illinois à Urbana-Champaign, Etats Unis.